Mieux gérer et réutiliser les eaux pluviales
Une alternative nécessaire

Les événements climatiques extrêmes – sécheresses ou à l’inverse inondations – ont tendance à augmenter en nombre et en intensité avec, comme conséquence environnementale et humaine, un déséquilibre général de la ressource en eau. Il devient urgent de mieux gérer les eaux pluviales via des techniques développées au plus près du point de chute sur les sols, par exemple en désartificialisant ces derniers et alimentant ainsi plus efficacement les nappes.

On doit aller plus loin en valorisant les eaux pluviales dans un contexte alternatif de « ville éponge » pour limiter les effets de manque d’eau. A cette fin, les chercheurs expérimentent des noues instrumentées de capteurs pour quantifier la pénétration de l’eau et observer l’activité des organismes et végétaux qui la favorisent. L’étude de ces interactions entre systèmes climatiques, physiques et biologiques, à l’échelle locale puis plus tard à l’échelle d’un territoire, permettent de mieux comprendre le fonctionnement des aménagements urbains.

Toujours dans le souci d’une meilleure préservation de l’eau, les chercheurs étudient la réutilisation de ces eaux pluviales mais aussi des eaux usées traitées, notamment comme substituts à l’eau potable pour certains usages ciblés et de plus en plus acceptés par la population comme l’irrigation, le nettoyage de voirie, les circuits d’incendie, …

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